Pendant les périodes de tension financière, il a souvent été observé que les consommateurs et consommatrices, sans vouloir se détourner complètement des produits haut de gamme, privilégient les achats de luxe les plus accessibles et les plus visibles, comme les rouges à lèvres. Les économistes parlent alors “d’effet lipstick”.
Si l’intérêt de recherche pour les “rouges à lèvres” est bel et bien en croissance cette année, ce sont des biens assez inattendus qui font cette fois rêver nos internautes.
Ainsi de nouvelles recherches comme “claquette de luxe”, “bob de luxe” ou encore “banane de luxe” forment une panoplie audacieuse, dans une industrie en perpétuel renouvellement. Pour se restaurer, les internautes réconcilient gastronomie et fast food en se mettant en quête d’un (sans aucun doute délicieux) “hot dog de luxe”, “brunch de luxe” ou encore d’un “kebab de luxe”. Cette dernière tendance a même un nom, l“’elevated food” (ou nourriture "surélevée"), visant à proposer une version gastronomique des mets les plus populaires.
Il y a donc une opportunité pour les marques de rompre avec la morosité de l’hiver en communiquant sur les petits plaisirs du quotidien qui se déclinent en version haut de gamme inattendues, à l’image de la toute nouvelle ligne de produits ménagers hyper-premium, La Droguerie, imaginée par Diptyque.
Au diable les paradoxes pour les internautes les plus ambitieux qui se mettent en quête de la bonne affaire en espérant trouver un “sac de luxe à moins de 500 euros” ou un "hôtel de luxe mais pas cher”... la chance sourit toujours aux audacieux !